dimanche 18 juillet 2010

Hey soul sister

(Train)


C'est le matin, le soleil diffuse déjà sa chaleur sur les perles de rosée, qui ne tarderont pas à se vaporiser. En vacance au chalet pour le week-end, mon ami et moi on est allé déjeuner sur la terrasse du restaurant de la ville.

Café et clope en main, avec d'immense shades au yeux, je promenais mon regard sur les femmes avoisinantes. Distraitement, mes yeux voguaient d'une femme à l'autre, n'ayant que comme critère : Oui ou non.

Puis une fille à attirer mon attention. Je dis fille, je vois femme. Malgré sa taille de souris, une immense paires de seins gonflent inopinément la marque de sa camisole : fOXy lADy.

- J'peux t'aider ?

Elle n'a pas l'air contente. Faut dire qu'en discutant avec mon ami, j'ai égaré mon regard entre ses seins. Et mon regard sait quoi faire quand il est perdu, il ne bouge surtout pas...

- J'peux t'aider ?

Elle n'a vraiment pas l'air contente, mais bon malgré que je sois convaincu que sa poitrine pourrait régler une partie du problème de la faim dans le monde, il faut que je lui réponde.

- Euh, oui. Oui, tu peux m'aider.
- Hein ?
- Ben tu m'as demander si tu pouvais m'aider, et je te dis que oui
- C'est pas ça que je voulais dire...
- Anyway, c'est malgré tout, ce que tu as dis. Donc, aide moi, va t'acheter une camisole ou un t-shirt qui n'exhibe pas le trois-quart de tes seins, et je vais me sentir mieux.
- Quoi ?
- J'ai dis : Va t'ache...
- Tu te prends pour qui.
- Le représentant de la majorité silencieuse. Criss, si tu es vexée qu'on te regarde la poitrine, achètes pas du x-small ou des camisole à décolleté pour porn star... Au pire, montre les une fois pour toute, et on va arrêter de regarder la vallée abyssale qui orne ton torse.

Mon ami m'a foutu un coup de pied sous la table. J'avoue que je n'ai pas l'aisance de dire de telle chose en temps normale, mais voilà...

Elle m'a regardé droit dans les yeux, elle s'est levé avec son verre d'eau en main. Je sentais déjà l'humidité gagné le dessus de ma tête, puis coulé le long de ma nuque. Mais non.

Tout en me fixant droit dans les yeux, elle a tiré sur le bas de son chandail, et elle s'est versé le verre d'eau entre les seins. La foule n'a peut-être pas remarqué, mais le côté prodigieux de la chose fut le fait qu'aucune goute n'est allée sur le soi-disant chandail. Le regard plein de couteaux, elle...Elle l'a fait.

Laissant ses amis en plant, elle est passée derrière moi, toujours BRA-free, et elle a laissée tomber son soutien-gorge sur moi.

Ses amies l'ont suivis, alors qu'un vieux monsieur s'étouffait avec ses dents.

Plus tard, dans l'après-midi, on a prit une marche en ville, question de faire passer le temps. Il y avait une activité de "hot-dogs" fait pour les enfants du village. J'ai trouvé ça drôle, et je me suis dit que c'était une bonne façon de faire passer le temps.

J'ai pris 2 hot-dogs, et vite fait, je les ai engloutis. Ma mère m'a toujours dit de bien mastiquer, et non m'astiquer, parce que ça aurait été vulgaire et que ma mère n'est pas pareil femme... mais je ne l'ai jamais vraiment écouter. Une chose dans l'autre, j'ai mal mâché et je me suis étouffé.

Quand je me suis réveillé, j'avais un congrès de religieuses autour de moi, dont une qui me faisait le bouche à bouche. Ayant ma mère en tête, j'ai ris en reprenant conscience, je pensais à des "pets" de soeurs...

Le religieuse qui me faisait le bouche à bouche est venu à mon oreille.
- à 22 hrs ce soir, dans le parc Tinkley, tu me rapporteras mon soutien-gorge s'il te plait.

Alors c'est donc vrai, l'habit ne fait pas le moine...

1 commentaire:

  1. Chaque fois que je viens ici, tu me racontes de belles histoires. J'adore ce que tu écris et de la manière que tu l'écris. Je reviens toujours...

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