mardi 5 octobre 2010

Autumn leaves

(Bill Evans)

Quand je suis parti travailler, c'était le printemps.

Et ce soir, comme j'arrive chez moi, j'ai vu le soleil se coucher avant même que j'aie faim pour le souper.

Pas de doute, l'hiver s'en vient, et avec lui revient toute ces froides soirées d'automne, lesquelles nous indique clairement que l'année s'achève.

Le printemps des amants est passé. L'été indien a fait résurecté de vielles passions déclinante, mais maintenant, autumn leaves... Que le jazz devient un blues.

L'amour c'est comme une table d'hôte, ça commence vite, mais dins fois on ne se rend pas au dessert.

Et toujours ce : On va tougher, nous c'est différent ! Tout nos amis se laissent, et c'est encore plus déchirant, quand c'est le couple d'ami qui nous a présenté l'un à l'autre, qui se déchire de ne plus pouvoir coudre ensemble. Et on s'aime, à les regarder se détruire. Et on s'aime doucement les soirs où le scotch coule à flot. On s'aime.

Et le feu d'automne devient de moins en moins ardent avec l'hiver... et on attends le printemps, parce que l'on a pas envie d'aller se chercher l'un l'autre, c'est moins dur d'attendre...

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