mardi 16 décembre 2008

La servante et le maitre.

Dans sa petite maison, je le suis. J’entends les enfants courir et rire à l’extérieur. Tout le quartier est entré dans sa routine quotidienne. Lui, Il monte les marches qui mènent au deuxième étage, qui mènent à sa chambre.

Il ouvre la porte de sa chambre et me fais signe d’entrée. Dans sa chambre, il n’y a presque rien. Quelques photos et portraits, une table de chevet et une commode. Tout est blanc. Sa chambre dégage une aura de pureté. Il ferme la porte derrière moi. J’enlève la robe à fleur d’oranger qu’il m’a achetée, ainsi que mon corsage et mon slip. Je garde cependant mes bas, c’est lui qui me l’a demandé. Il veut que je porte des bas maintenu par des jarretelles.

Une fois que je suis nue, je vais à la fenêtre. Il y a bel et bien des gamins qui jouent au hockey dans la cour à côté. Il fait beau aujourd’hui, en ce premier dimanche d’automne. Ma mère disait : Le trois fait le mois. Si c’est vrai, septembre sera un mois splendide. La porte s’ouvre derrière moi, c’est lui. Je reste de dos à lui, sachant pertinemment qu’il fixe mes formes. Je me retourne et lui sourie.

Doucement, il fait glisser ses vêtements sur le sol, il allume une chandelle qu’il garde toujours sur sa table de chevet. Je fais mine de rien, mais à chaque semaine je suis terriblement excitée lorsque je le vois allumer cette masse de cire. Il se penche doucement et je vois toutes ses fesses qui ne semblent que vouloir que je les pétrisse amoureusement.

Alors que je me couche sous les couvertures, il éteint les lumières. Alors, lentement, il s’approche du lit, il saisit la couverture et tire doucement sur celle ci. Il me fixe dans les yeux et me demande de me coucher sur le ventre, et je l’écoute. Il s’assoit sur moi. Ses mains commencent alors à me caresser. Du fond de la tête jusqu’aux pieds, il masse tout mon corps. Ses mains sont comme des rouleaux compresseurs, il presse fort, il me fait mal et j’aime ça.

Il sort l’huile qui est dans sa table de chevet et continue de plus belle son massage. Ses mains glissent sur mon corps tendrement, mais fermement. Je sens une chaleur qui monte en moi. Je suis complètement démunie, j’aurais envie qu’il me prenne des maintenant. Je sens l’humidité qui semble se répandre sur le drap du matelas. Ses caresses diminue et il m’empoigne par la hanche solidement et me retourne sans aucune difficulté sur son lit. Il se tient debout au pied de son lit, il me regarde, si je n’étais pas nue, je dirais qu’il me déshabille du regard. Mais me sachant nue, j’ai l’impression que c’est le fond de mon âme qu’il voit au travers de mon corps. Son regard se durcit, il me tire et ramène mes cuisses sur ses hanches. Je sens son membre qui heurte l’entrée de mes grandes lèvres, son gland qui se frotte sur mon clitoris et la moiteur entre mes cuisses qui ne demande que de se faire combler.

Il s’agenouille entre mes cuisses et je sens la douceur de sa langue qui glisse sur mon sexe. Sa langue qui tourne et monte et descend, une douce sensation de béatitude s’installe en moi et c’est si bon que j’ai l’impression que c’est péché que de se sentir si heureuse.
Tous mes muscles se contractes et je mords l’oreiller. J’ai des frissons sur l’ensemble de mon corps. Il se relève en me regardant et souriant, il est fier de lui. Alors que je reprends mon souffle. Il me retourne solidement me dit d’une voix sévère que je ne dois pas bouger.

Il retourne vers la table de chevet, et cette fois il en retire deux sangles de cuir. Cela fait déjà quelques fois qu’il m’en parle et j’ai dit oui pour cette fois ci. Il revient près du lit, et doucement il me prends par les poignets et m’Attache sur son lit. Revenant derrière moi, il entreprend de me prendre comme un animal. Il me fait mettre à quatre pattes et je sens son membre tout chaud de désir s’approcher de mon sexe. Je me sens toute chaude, et sans m’avertir il s’enfonce en moi. J’étouffe un cri de surprise. Il ne fait que rentrer le bout et il ressort tranquillement, et il le fait 9 fois de suite avant de rentrer de tout son long. L’impatience me gagne je pleure sur le lit qu’il s’arrête et qu’il me pénètre pour de bon, mais non, il continue son décompte. 8, puis 2 fois, 7 début et trois grands coup.

Je suis au bord de l’orgasme quand la dernière fois il ressort et me pénètre à nouveau d’un grand coup. Puis quand j’ai senti le coup de sangle s’abattre fesses, j’ai jouie. Lui ne semblait même prêt de jouir, il en voulait encore. Il est venue me détacher et à pris ma place dans le lit. C’est les jambes molles que je l’ai tout d’abord chevauchée. Après quelques minutes, je me suis retournée, dos à lui pour faire des mouvements moins fatiguant. C’est alors que je suis retournée face à lui, saisissant la sangle et lui donner quelques petits coups sur sa poitrine. C’est à ce moment que je l’ai senti se gonfler en moi, me remplir de partout et lorsqu’il est arrivé près de jouir, je lui ai chatouillé le bout de pieds du revers de la main et il à explosé en moi.

Lové l’un contre l’autre dans son petit lit simple, je vois l’heure passé. Je me lève et enfile mes vêtements. ‘’ il est presque 4 heures, tu vas être en retard’’ je finis de m’habiller et avant de sortir de la chambre je le regarde et lui dit : À dimanche prochain M. Le curé.

1 commentaire:

  1. Hum... je ne peux décidément pas dire ce que j'en pense vraiment. Mon titre serait en jeu.
    Mais j'en pense beaucoup de choses.

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