jeudi 11 juin 2009

Ayoye

(Offenbach)

De l'impétuosité des jeunes filles.

Je suis un vieux de la vieille. Mais la vieille, elle m'a bien éduquée.
Moi, moi, qui prône le libre-arbitre, parce qu'un arbitre, ça ressemble déjà à un prisonnier...
Moi qui prône le moment présent, parce que le passé est fait et le futur à parfaire...
Moi qui prône l'amour, parce que c'est si prenant la haine...

Et bien moi, j'ai de bien belles valeurs, mais je ne fonce pas.

Comme mon père m'a si souvent répété, et que moi même, je dis avec humour : Fais ce que je dis, pas ce que je fais !

Je ne me, et vous, tannerais pas à essayer de comprendre LA femme, c'est peine perdue. Chaque femme est une étoile à découvrir, et tant qu'il y aura des femmes, il y aura des étoiles...

Ce que je cherche à comprendre, c'est la vision de la femme à propos de L'Homme.

Hier encore, je me suis fais servir : L'homme moyen cherche sa mère. Vous cherchez tous une partie de mère en nous...

Peut-être, mais vous, c'est votre père que vous cherchez en nous. L'Homme rassurant. Et j'ai compris quelque chose.

Mais rassurez vous, je suis loin d'avoir une vision significative, seulements des bribes...pour l'instant.

Nous sommes pas pareil, et pis pourtant, on s'émerveille au même printemps

- Gerry Boulet -

2 commentaires:

  1. Touché ! Je suis d'accord avec toi : nous cherchons toutes un peu notre père. D'accord aussi pour ta citation musicale... Toujours aussi touchante, cette chanson...

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  2. de la psychologie pour novices, jadore !

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