jeudi 24 septembre 2009

running in place

(Zachary Cale)

Pourquoi haïr est plus dur que de ne plus aimer ?
Mais d'un autre côté ; pourquoi ne plus aimer, même un peu ?

Sachant que Haïr, c'est aimer, pourquoi s'en soucier ?

2 commentaires:

  1. Voici une piste pour ta première question...
    Je crois qu'haïr est plus difficile que ne plus aimer parce que ça équivaut à tout à coup transformer quelque chose de magnifique qu'on avait en soi en quelque chose de très laid qui nous pourrit la vie.... Quand on cesse d'aimer, avec le temps, le beau peut rester beau. Mais quand on hait, tout le portrait est gâché. Et un goût amer reste dans le fond de la gorge.

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  2. Peu importe ce que tu aimes et à quel point tu l'aimes. Inévitablement, on finira par te blesser ou te décevoir d'une manière où d'une autre en retour. Toutes tes blessures existent parce que tu aimes, que tu as aimé. Mais... As-tu déjà remarqué? Seuls ceux qui comptent réellement pour toi réussissent à te faire de la peine.

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